Que ferait Hippocrate devant le COVID 19 ?

⭐ Primum non nocere ⭐

Warning 1, c'est un post long. J'aurai pu en écrire une thèse. Mais à la fin de la lecture de ce post  ?? et après avoir vu la vidéo de ces médecins espagnols, j'espère que vous entendrez votre petite voix intérieure du discernement.

Warning 2: la vidéo en question a été supprimée de Youtube quelques heures après sa publication. Je vous laisse faire vos propres conclusions.  J'ai réussi à faire une copie sur mon profil FB. Vous trouverez le lien ici REGARDEZ LA VIDEO ICI

Warning 3: l'actu du moment étant foisonnante, j'ai décidé de mettre à jour régulièrement cet article, vous pouvez suivre l'évolution en descendant à la fin de l'article

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?? Vous voulez une lecture intégrative possible du COVID 19? Et comprendre pourquoi on a l’impression d’être dans un ring de boxe ?

Les anti-masques contre les pro-masques? Les anti-vaccins contre les pro-vaccins? Chacun utilise les mêmes arguments que le camp adverse. La bataille sanguinaire des peureux contre les égoistes, les parano contre les individualistes… Je vous laisse jouer avec ces beaux oxymores de la langue française.

Ambiance viscérale, qui réveille des peurs enfouies, individuelles et collectives.

Pendant ce temps, il se passe des choses en coulisse. Oui, vous pouvez me traiter de complotiste. Je vais faire comme les enfants en maternelle. C’est celui qui dit qui est ;-)

?? Alors pourquoi ce big bordel ? Enfin ce big bordel j'ai envie de dire!!!

Nous sommes face à une preuve concrète que LA science n'est pas LA réalité. Certes, c’est un outil de mesure du vivant, essentiel, mais la carte ne peut pas remplacer le territoire. Et le vivant est complexe. Nous ne sommes capables de mesurer et de comprendre que 10% du vivant à tout casser.

Alors si vous avez envie de prendre un peu de recul, de sortir de cette cacophonie ambiance « cours de récré » où des experts jouent à un coucours de b… A défier qui a la plus grosse.

Si vous avez envie de comprendre ce qui se passe, de voir les faits, et de cultiver votre discernement, c’est une grille de lecture que je vous propose, en aucun cas une vérité absolue. Parce que c’est vous qui avez votre propre vérité.

- Merci donc de lire tout le post, avant de réagir.

- Invitons Einstein et sa célèbre citation: « Pour trouver une solution à un problème, sortons du niveau de conscience qui a engendré le problème. »

- Un principe issu des sagesses indiennes: « Tu as ta vérité. J’ai ma vérité. Comment allons-nous faire pour accueillir nos deux vérités, sans que l’une tente de prendre le dessus sur l’autre ? »

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?? ?? ?? Yeah! J'ai enfin trouvé une vidéo qui illustre cette grille de lecture intégrative. Pas de jeu de pouvoir, pas d’égos surdimensionnés, pas de prise de partie d’un côté comme de l’autre. Les médecins qui s'expriment dans cette vidéo ne sont pas en train de critiquer, ils partagent les faits, de manière lucide, avec leurs expertises, en reconnaissant la douleur provoquée chez les personnes et familles qui ont été touchées, les effets du COVID, les conséquences du pic avec les malades et les morts. Oui, c'est une réalité.

Mais... Ce qui se passe actuellement (rappelons-nous que la vie est évolutive), c’est un emballement du système basé sur des algorythmes, des ordinateurs, qui ne s'adaptent pas à ces données évolutives du vivant. Avec un système législatif sclérosé, basé sur ces algorythmes, et la gestion des risques. Pas sur la santé et le vivant. Oui, il fallait agir dans l’urgence au début de la vague, oui. Mais nous commençons à avoir un sacré recul. C’est là toute la complexité de la santé publique. Ça demande de varier d’échelle. On passe de la santé d’une personne à la santé d’une population, d’un peuple, des êtres humains. Et là on commence à créer des mesures universelles qui risquent de causer plus de tort que de bien, à toutes les échelles.

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Pour revenir à cette vidéo, je vous invite à écoutez la chercheuse qui explique de manière très claire ces différents points que j’ai résumé ici, car j’imagine que ce n’est pas toujours facile de rentrer dans ce jargon quand on est pas du milieu. Et que vous saturez peut-être de toutes ces vidéos qui sont balancées de manière très trash, sans mode d’emploi en ce moment sur le net.

 

REGARDEZ LA VIDEO ICI

- 8’05: Les arguments pour le port du masque grand public

- 11'21: L'historique du COVID 19 depuis son identification en janvier 2020 avec les manifestations graves reconnues

- 11’31: Test PCR: qu’est-ce que ça mesure? Ces limites à prendre en compte avant de lancer des mesures de prévention? Les faux positifs (être PCR + ne veut pas forcément dire qu'on a le COVID 19, et si on l'a on peut être asymptomatique, et c'est plutôt bien parce qu'on s'immunise)

- 16’40: les potentiels risque du vaccin alors que la population globale est en train de s'immuniser naturellement

- 18’32: l’indication de l’hydroxychloroquine dans les formes légères

- les conséquences dramatiques chez certaines personnes isolées, défavorisées, chez les enfants... Bien sûr on ne dénie pas les personnes et les familles qui ont souffert du COVID, sortons de la pensée binaire, soit l'un ou l'autre.

- 19’25: les traitements préventifs dont l’efficacité serait prouvée

- 19’34: les indications du port du masque selon l'OMS (soignants + personnes fragiles + hopitaux )

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Conclusion: CQFD: Nous risquons des dommages collatéraux énormes à cause des mesures actuelles qui ne sont plus justifiées.

 

?? Alors d’ou vient cette confusion générale qui créé des extremismes violents?

- Le jargon scientifique et médical qui fait que les citoyens se désintéressent de leur santé et donnent leur pouvoir à des institutions, à des sachants, à la science

- Les médias classiques sont en partie responsable de ce storytelling qui nous prépare à accueillir le vaccin comme le seul sauveur possible de cette situation. Les chiffres doivent toujours être partagés dans le contexte, or ce n'est pas le cas (exemple dans la vidéo : 24’13)

- De manière plus générale, cette pensée unique que nous véhiculons depuis le siècle des lumières nous montre que nous ne pouvons plus fonctionner ainsi. Car elle crée de la dualité. Tu dois choisir ça ou ça. Si tu ne choisis pas la même chose que moi, tu es contre moi. Comme il n’y a que de la place pour l’un d’entre nous, je dois te convaincre que c’est moi qui aie raison. Ou je te détruis. Cette crise nous montre que personne, non personne, n’est détentrice d’une vérité suprême. Au revoir la suprématie. Autre mauvaise nouvelle: c’est le moment de faire le deuil du sauveur.

- Qu’est-ce qui entretient cette pensée unique? Notre société pyramidale qui valorise des experts coupés du terrain, ou des jeux de pouvoirs s’installent de manière durable, nous laissant croire à un semblant de démocratie.

- Et comment vérouiller le système pour qu’il soit difficile voire impossible de le remettre en question? Mettez en place une boucle de contrôle rétro-active avec un appareil législatif lourd, rigide, chronophage, incompréhensible et donc incapable de s’adapter à l’évolutivité de la vie (et de notre virus en l’occurence). Un système qui sanctionne lourdement toute personne qui ose ne serait-ce que questionner les mesures. Avec en cadeau, l’étiquette d’ égoiste, qui ne pense qu’à soi et à sa liberté.. Ce manque de résilience dans la législation est un signe de mort imminente du système. C’est de la physique pure. Tant que nous fonctionnerons dans une société où c’est la gestion du risque qui prime comme un monopole indétronable, et pas une pensée au service de la vie, vous tuez la créativité des êtres qui vivent dans ce système. A petit feu. Y compris celui des humains.

 

?? Les dommages collatéraux possibles

- Une grosse confusion qui peut avoir des répercussions dans les mois à venir, chez les enfants et les adultes. A cause de cette dissonance cognitive intense (exemple ça fait des années qu’on nous faisait chier sur les femmes qui portent le voile, et maintenant le masque c’est ok dans les lieux publiques, les aéroports… Ou encore la limitation d’utilisation de l’écran chez un enfant et à présent toute la journée devant l'écran pour l’école). Les enfants sont en train de recevoir des informations incohérentes qui ont un impact sur leur processus de croissance, de confiance en eux, de confiance envers les adultes.

- La peur collective qui engendre un stress latent, je vous laisse imaginer les surrénales, et autres déséquilibres hormonaux et immunitaires

- Les conséquences du télétravail. On ne devient pas télétravailleur du jour au lendemain. Ça demande une autre manière de s’organiser qu’en présentiel, de la discipline pour ne pas finir en burn-out devant son écran. Aucune sensibilisation ou formation n’a été proposée pour les personnes invitées à faire du télétravail. Elles ont souvent été forcées.

- Les PME et les artisans qui doivent fermer car pas les moyens de mettre en oeuvre les mesures incohérentes et non justifiées, alors que les grandes entreprises continuent à fonctionner sans problème (paradoxe du Mac drive resté ouvert pendant tout le confinement comme les grandes surfaces alors que les petits commerçants dans les marchés ont dû fermer.)

- La culture et les artistes porteurs de la poésie du monde

- Personnes âgées, seules, les personnes battues, personnes fragilisées coincées chez elles

- Les autres malades non pris en charge (exemple: on a plus de morts dûes à la dengue en Guadeloupe que de morts à cause du COVID, mais depuis 5 mois, toutes les actions santé sont orientées à 200% contre le COVID (contre… Encore un complexe de supériorité de l’humain de se croire au dessus des virus, au dessus de la nature)

- Et j’oublie surement d’autres dommages… Moi ce qui me touche le plus, c’est l’hypocrisie de nos gouvernements qui justifie ces mesures pour notre santé, alors que s’ils se souciaient vraiment de notre santé, le monde serait bien différent, et nous aurions un vrai système de santé, pas un système de maladies.

 

?? On fait quoi maintenant?

L’intention de ce post n’est pas de nous mettre le moral à zéro, mais de partir de faits, pour réveiller votre scientifique intérieur. Mon quoi ?

Oui, nous avons toutes et tous une capacité de discernement, à faire des choix, à aller s’informer auprès des bonnes personnes, à accueillir ses émotions et faire la part des choses. A devenir conscient que nous avons la possibilité de répondre à des évènements (response-ability) Pour choisir le mieux possible pour soi, en fonction des données, en fonction de son terrain, de son histoire, de ses croyances, sans sentir le besoin d’imposer à l’autre ce qu’il doit ou ne doit pas faire.

 

?? Des pistes concrètes ?

- Des agoras de la santé.

La santé c’est quand même notre bien le plus précieux, non? Et c’est ce qui réunit toutes les disciplines dans une société: l’éducation, les ressources énergétiques et alimentaires, les services, la médecine, les transports. Si pas d’humains pas de société… Il faudrait, comme au temps de l’antiquité, créer des agoras (espace public), pour réunir publiquement les avis contraires des experts (et arrêter les concours de bite sur les réseaux sociaux chacun dans son coin, ce qui créé encore plus de confusion). On pourrait utiliser des outils d’intelligence collective. En commençant par voir le pourquoi de la réunion: pourquoi avez-vous choisi ce métier? Quelle est la cause commune qui vous unit? Avant d’aller explorer par des faits simples, ce qui vous sépare. Chacun son temps de parole. Sans couper l'autre comme sur un plateau TV politique. Avant la séance, petit travail sur votre égo. Pour ne pas finir dans une arène de gladiateurs assoiffés.

- Et comme nous sommes encore en démocratie (j’espère), les citoyens seraient participants via les outils numériques (avec tous les moyens dont on dispose aujourd’hui, quand même, ce n’est pas compliqué… 

- Il faudrait des facilitateurs. Pour faire le pont entre les experts et le public, qui traduisent en langage simple et clair les propos parfois compliqués des experts. Et ensuite on vote les décisions. Ça a l’air tellement simple par écrit! Alors pourquoi est-ce si compliqué sur le terrain ?

- Une autre action concrète serait d’arrêter de dépenser des sommes folles pour les fiches de signalisation tous les 1,50 m (j’ai l’impression d’être prise pour une gamine irresponsable et débile quand je vois toutes ces signalisations qui pullulent. Imaginez, si on avait investi ne serait-ce que 10% des sommes dépensées pour les investir dans de la communication de santé (vidéos, affichages, cours via l’éducation nationale, les ARS…) : en plus des mesures barrières, comment renforcer son système immunitaire, améliorer son alimentation, l’activité physique, les pratiques psychocorporelles, les huiles essentielles et autres remèdes de thérapies alternatives et complémentaires, la nature, les émotions (et la gestion de la peur). Bref, on pourrait en écrire un livre. C’est tellement facile à mettre en place que je vous laisse le soin d’imaginer pourquoi ça n’a pas été fait.

- Revoir les études de médecine, créer des ponts entre soignants, médecins, thérapeutes, chercheurs, enseignants… On travaille tous sur le même sujet: l’humain! A quand le conseil de réconciliation des médecines du monde ? Qu’on arrête encore une fois de mettre l’occident au dessus des autres ? Qui créent des polémiques douteuses de l'OMS.

- Enfin, je terminerai mon blabla par ceci: en tant qu’êtres humains occidentaux du 21ème siècle, on devrait cultiver l’humilité: être capables de remettre en question nos méthodes d’évaluation scientifique. Nous rappeler avec cette polémique du Lancet que nos moyens d’évaluation scientifique ont été élaboré dans les années 60, après la 2ème guerre mondiale, qu’ils ont été mis en place pour assurer la sécurité des personnes, face à l’introduction de nouvelles molécules sur le marché. Les contraintes importantes des outils statistiques utilisés et validés dévalorisent des études sur des pratiques intégratives qui n’utilisent pas une molécule chimique unique dont on peut mesurer l’effet. Ces pratiques sont basées sur la dimension globale de l'être humain, ses énergies, son intuition. Cela ne veut pas dire que ces pratiques ne sont pas efficaces. Mais que les outils actuellement utilisés et validés ne sont pas suffisants. Alors il est temps de revoir nous outils, de les améliorer, de les mettre au service de la vie. C'est à la science de s'adapter à la vie. Pas à la vie de s'adapter à la science.

 

Bon voilà, ça avait envie de sortir du coeur, c’est sûrement imparfait, mais j’espère que ce post réveillera en vous votre capacité de discernement, votre intuition. Il n’y a que vous qui sachez ce qui est bon pour vous. Nous allons en avoir grandement besoin dans les mois qui viennent. Merci @Hippocrate, je t’ai prêté serment et je respecte mes engagements. Et merci Anne Claire Meret qui fait un énorme travail de compilations de vidéos, d’articles sur ce sujet. Tu m’as aussi inspirée pour écrire ce post <3

 

LA METAPHORE DE L'ELEPHANT *

 

 

Nous sommes chacun.e un petit scientifique en train d'explorer notre réalité. Chacun.e est limité par ses propres sens pour explorer la réalité globale. Deux possibilités:

- Soit je me borne à dire que ce la réalité c'est une corde et j'impose cette réalité aux autres

- Soit j'intégre ma réalité comme une corde, mais j'accepte de prendre du recul, et d'aller voir ce que me dit mon voisin. Et son voisin. Et son voisin. Et ensemble, en mettant ensemble nos réalités, peut-être arriverons-nous à faire émerger la réalité globale ?

*Métaphore extrainte des védas. 

 

 

► Ressources pour continuer à cultiver votre discernement:

- 31/07/20: Interview de la chercheuse Alexandra Henrion-Caude

Depuis que le Covid-19 est entré dans nos vies, on ne parle plus que de ça. Pour autant, beaucoup de questions restent aujourd’hui sans réponse. Parfois même, certaines ne peuvent être posées. Ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Alexandra Henrion-Caude parle librement. Le virus vient-il d’un animal ou d’une manipulation humaine d’un laboratoire ? Que faut-il penser de la vaccination expérimentée de plus en plus aux quatre coins du globe ? Les conflits d’intérêt ont-ils ôté la liberté de la science ? Avec une humanité qui transparaît à chaque mot, Alexandra Henrion-Caude tranche avec la langue de bois des pseudos spécialistes du comité scientifique et livre sans détour les certitudes et les questionnements qui ressortent de cette crise inédite.

 

 

 

- 01/08/20: Des médecins américains dénoncent une mascarade sanitaire et sont censurés

Des médecins américains ont organisé une conférence de presse sur le COVID-19 pour dénoncer la politique de la peur. Ils appellent, comme beaucoup d’autres médecins dans le monde ces derniers jours, au retour à la raison et réclament l’usage du traitement à base d’hydroxychloroquine. Leur vidéo a depuis été censurée sur Youtube et Facebook et leur site a même été supprimé.

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